LAMENTIN [Les Lamentinois] 

 

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L'aéroport du Lamentin

 

 

Située au centre de la Martinique, au sud-ouest de la baie de Fort-de-France, la commune du Lamentin s’étend sur le territoire le plus vaste de l’île (6232Ha) dont une grande partie se compose d’une large plaine alluviale, particulièrement fertile, bordée de mangroves et traversée par deux rivières : la Lézarde et le Longvilliers (canal du Lamentin).
Cette situation privilégiée a favorisé l’implantation humaine et le développement économique qui ont au fil des années modèle le paysage architectural en y laissant de larges empreintes du passé juxtaposées aux témoins de la modernité.

La présence de l'aéroport international a été un atout supplémentaire.

Le Lamentin compte 39460 habitants

Le Lamentin possède également un arrière pays très diversifié propice à d'agréables randonnées ainsi que de nombreuses installations sportives de qualité (stade, tennis, piscine, hall des sports).

 


A visiter, à dix minutes de l'aéroport, la Roseraie Burnet est une vaste propriété de production de fleurs tempérées (80.000 rosiers) et de fleurs tropicales, ainsi que la Ferme de Perrine, un espace convivial et ludique pour découvrir la faune locale.

 

L'église Saint Laurent du Lamentin et ses vitraux protégés.
Érigée à la fin du 17e siècle, l'église Saint Laurent (rue Schoelcher) a pris son allure actuelle au 19e et au 20e siècle. Ses vitraux inscrits à l'Inventaire des Monuments Historiques depuis 1995, sont protégés. Ils ont été réalisés par maître Verrier. Plusieurs saints sont représentés sur fond de peltes de feuillages.
 

La Rivière Lézarde , le plus long "fleuve" de la Martinique avec ses 35 km devait, sans doute autrefois, accueillir sur ses rives des lamantins, qui ont aujourd'hui totalement disparus.
 

La Ferme de Perrine, Animaux sauvage et domestique.
Tél : 05 96 57 17 16.

Maisons de travailleurs, maison de géreur, Habitation Gaigneron :
Datant du début du 20è siècle, cet alignement de maisons de travailleurs rappelle la disposition des rues case-nègres d'avant 1848.
La maison de géreur, en pierre et en béton abritant désormais des bureaux, présente un plan rectangulaire simple. De vastes pièces carrelées occupent le rez-de-chaussée.

Les chambres se trouvaient à l'étage. De nos jours, l'Habitation Gaigneron est un lieu très prisé pour les photos-souvenirs de mariages, baptêmes, pour son originalité, la beauté de son jardin.
La source Frédée
Cette source est située à Morne Pitault au lieu-dit Frédée où, il y a une soixantaine d'années se trouvait une sucrerie appartenant à Monsieur Décius Frédée.
Cette source, d'un débit modeste et régulier, est l'âme du quartier. Son eau est potable.

Elle continue d'accueillir un ballet incessant de gens venant, puiser de l'eau, se baigner, laver leur linge, leur voiture, et même méditer, comme " an tan lontan".
Le jardin fleuri de Croix-Rivail :
Si vous empruntez le chemin Ysidée au quartier Croix-Rivail, vous tomberez certainement sous le charme d'un magnifique jardin fleuri parsemé d'arbres fruitiers et d'énormes blocs rocheux d'origine volcanique. Cet espace amoureusement entretenu par M. Mitrail, pâtissier de métier mais passionné de jardinage, mériterait d'être connu de tous.


Maison de maître de l'Habitation La Favorite:
Henry Dormoy fit construire sur l'Habitation La Favorite, l'imposante maison de maître que les habitants des quartiers environnants, comme les employés de cette habitation impressionnée par cette demeure située alors en pleine zone agricole, surnommaient " le château ". Les plans de la maison furent l'œuvre d'un architecte parisien, avec des tourelles d'angle, des charpentes en bois et des lucarnes de ventilation, qui donnent à l'ensemble un aspect modern style.

La distillerie La Favorite :
Au début du 19è siècle, l'habitation-sucrerie La Jambette comptait 129 hectares. Charles henry, en 1851, la renomma La Favorite et la revendit en 1865. Elle passa alors aux mains de nombreux propriétaires, mais la distillerie se délabrait et sa production de rhum diminuait. L'habitation fut vendue aux enchères, en 1909 à Henry Dormoy. L'une des rares distilleries " à taille humaine " de l'île.
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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